Architecture

Traduction pour l’architecture : dans le respect de l’art et des formes

Par Nathanaël Pinard, associé fondateur d’AxioTrad, spécialiste de la traduction en architecture, diplômé HMONP.

Le monde de l’architecture et de la construction est caractérisé par une terminologie complexe et variée, concernant un panel de métiers et de compétences élargi. Dans un tel contexte, une bonne communication est un atout primordial. La prise en charge de vos besoins en traduction ne doit sacrifier ni à la qualité ni au respect de l’art. La traduction en architecture doit donc rester entre des mains sûres.

Le traducteur en architecture et construction

Une parfaite connaissance du milieu architectural, de ses enjeux et de sa terminologie est essentielle, si l’on veut pouvoir traduire correctement les pièces écrites et autres documents techniques.

Le traducteur spécialisé possède une parfaite compréhension de l’architecture, de l’urbanisme et de la construction, qu’il s’agisse de ses enjeux techniques, sociologiques ou spatiaux. Il est à même d’adapter son registre linguistique à la nature du document traduit, et connaît parfaitement les terminologies propres au secteur. Qu’il s’agisse d’un document technique pour un chantier, d’un échange interne à un groupement de maîtrise d’œuvre ou bien encore d’une publication pour une audience plus large, la palette du traducteur doit couvrir le besoin.

Une traduction délivrée par des experts, un atout majeur pour votre communication

Certaines de vos notices, pièces et documents nécessitent un traitement particulier. Ils seront consultés par des décisionnaires (élus, syndicats,…) ou bien par des professionnels, et doivent toujours bien employer les termes qui conviennent.

En outre, les productions de l’architecture sont très riches en visuels divers, et le beau ou la finesse du document ont beaucoup d’importance. L’esthétisme, le sens des formes mais aussi celui du verbe, voilà bien des concepts rois dans notre branche !

J’ai toujours pensé que c’était à l’Homme que ces questions revenaient (sincèrement, auriez-vous été prêts à laisser un ordinateur produire le texte d’origine ?). Et à mon sens, cela s’applique aussi en traduction. On ne peut saisir toute la portée du texte sans être aguerri, et l’on ne peut non plus penser qu’un amateur saura quels éléments doivent rester en avant.

Le traducteur doit être aussi sensible à ces enjeux que le premier auteur.

Si je devais donner ma conviction, je dirais que c’est pour cela que la traduction en architecture se prête si bien au modèle d’AxioTrad. Le linguiste aime le texte autant que l’architecte. Mais l’architecte apprécie également l’espace, les volumes et les formes. Et nos traducteurs aiment les deux.

Nathanaël PINARD,
Associé fondateur.

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